« La liberté, c’est nul »

« Freedom sucks. Political freedom is great. But personal, social, and emotional freedom—when it becomes an ultimate end—absolutely sucks. It leads to a random, busy life with no discernible direction, no firm foundation, and in which, as Marx put it, all that’s solid melts to air.

It turns out that freedom isn’t an ocean you want to spend your life in. Freedom is a river you want to get across so you can plant yourself on the other side—and fully commit to something. » David Brooks, The Second Mountain.

S’engager dans quelque chose, c’est fermer en un clin d’œil une infinité de portes, tourner le dos à une infinité de chemins. Dire vraiment « oui », c’est dire mille fois « non ».

Nous ne le faisons pas parce que nous avons une peur panique de ce que nous pourrions rater. Nous vivons dans un monde de distractions, où tout semble accessible, dans un monde de compétition, où tout semble à prendre.

Mieux vaut l’enracinement du choix que la liberté virtuelle.